Cette fin de semaine nous étions tous sur le pont pour organiser le stand du CSF au salon de
Nîmes.
Dès vendredi, branle-bas de combat : il faut récupérer le matériel, les
affiches... la signalétique... la déco... la boutique...
Table et chaises... ne rien oublier... ah, l'apéritif ! Bon, en serrant bien dans la Plein Ciel de
Jean-Claude... tout rentre !
Et nous voilà vendredi après-midi en route pour Nîmes avec la Plein Ciel, l'Aronde taxi de
Bernard et la Simca 8 de Daniel. Parcours sans encombres sous le soleil et arrivée au parc des expositions
où nous garons nos véhicules sur l'emplacement dédié au club, particulièrement bien
positionné cette année près de l'entrée principale et face aux voitures de prestige.
Installation faite comme des pros... opération Belgom, Nénette et chiffon... il faut que cela
brille !
Retour au bercail vendredi soir en moderne avec chauffeur (merci à Gilles) et nous laissons nos
anciennes entre elles pour passer la nuit avant l'ouverture du salon samedi.
Samedi : le jour traditionnel des amateurs d'anciennes, bonne affl uence et bonne fréquentation au
stand : bien sûr, les adhérents qui passent donner un petit bonjour (surtout vers midi, l'odeur de
l'apéritif y serait-elle pour quelque chose ?), mais aussi les sympathisants de la marque toujours nombreux
et toujours prolixes en anecdotes et histoires variées, et puis comme toujours ceux qui ont une voiture à
vendre... ceux qui souhaitent en acheter une... ceux qui recherchent « la » pièce ou
« le » boulon... enfin tous ceux qui font le petit monde des amateurs de voitures de collection.
Et le soir, repas pris en commun sur le site avec les autres clubs présents. Dimanche : le jour
traditionnel des promeneurs, des badauds, des familles, des curieux... enfin de tous ceux qui sont fascinés par
ces voitures d'un autre temps et tous ces chromes rutilants : grosse affluence frisant parfois l'engorgement dans
les travées du salon.
Jean-Claude est heureux, la boutique est assaillie... les affaires reprennent. Les flashes crépitent,
nous sommes des stars ? Hé non, ce sont nos voitures qui récoltent les félicitations et sont
immortalisées sur carte mémoire en dix millions de pixels.
Pas de temps morts, un sandwich à midi et l'après-midi s'écoule rapidement...
déjà 18 h 30, le salon ferme ses portes. La remballe rapide et hop, sur une seule sollicitation
du démarreur nos chevaux-vapeur s'ébrouent dans la grande salle, nous partons en convoi, tous phares
jaunes dehors, un peu fatigués mais heureux de ces deux journées riches en échanges et contacts
divers.
Texte et photos : Jean-Claude Feuvrier
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