Ce samedi 22 octobre, le soleil a décidé d'être de la partie. Alain et Christine nous ont conviés à une balade savoyarde pleine de romantisme et de nostalgie, empruntant des routes totalement inconnues de bon nombre des participants.

Au total, seize Simcaïstes répondent présent, y compris les parents Cuaz (Marcel et Éliane) qui, malgré leur collection de la marque à l'hirondelle, veulent se démarquer en roulant en Peugeot 305. Peut-être une provocation pour nous rappeler les mangeurs de Talbot !

Heureusement, la descendance (Julien et Adrien) relève le défi en venant avec une magnifique 1200 S ; les autres participants conduisent Tagora, 1510, Simca 1000 et pour le plus grand nombre un modèle de la famille 1300/1301/1500/1501.

Les Alain sont en nombre, heureusement bien plus vaillants que le break 1301 de l'ami Alain le Viennois, qui nous fait un caprice de pompe à eau, remplacée le lendemain chez notre trésorier adjoint, dépositaire de nombreuses pièces d'occasion de la marque.

Grâce à la conduite cool de notre hôte, (eh oui, cela lui arrive), nous ralentissons fréquemment afin de jeter un coup d'œil sur certains sites que nous n'aurions certainement pas remarqués sans son aide.

La pause quatre heures est très appréciée par les convives, avec un gâteau confectionné de main de maître par Christine, dont les seize parts sont dévorées en quelques minutes principalement avec l'aide de Martine, preneuse de la part du pauvre.

Après ce petit en-cas, nous quittons la vue imprenable sur le lac du Bourget, pour prendre la direction de Cernex, dans la campagne profonde, lieu de villégiature de la famille Varet.

Nos hôtes nous invitent à trinquer à cette radieuse journée et à finir celle-ci par un repas convivial, copieux, digne d'un « dîner presque parfait », il ne manque que les tablettes de notations !

Entre deux bouchées, Christine décide de nous faire un défilé de mode. Tous les mâles retiennent leur respiration, imaginant déjà dans leur petite tête des dessous affriolants qui vont réveiller leurs instincts, et là, Christine apparaît... enveloppée dans un imperméable orange (offert à chaque participant en cadeau de bienvenue). Pas sexy le capuchon...

La soirée prenant fin, les invités repartent, chacun de leur côté, seuls quelques irréductibles ont élu domicile pour la nuit chez nos hôtes.

Comme quoi les deux Alain, Varet et Boucard, avaient bien travaillé, je retrouvai le lendemain après-midi le break du Viennois en exposition sur l'esplanade de Sallanches. Eh oui, nous les croisons partout ces autos.

Un grand merci à Christine et Alain pour cette organisation, bravo !

Texte et photos : Françoise et Jean-Louis Baudu